Ceci est une ancienne révision du document !
En général, la consommation de THC est interdite par la loi sur les stupéfiants. Mais fumer de l'herbe en soi n'est pas un motif de licenciement.
Même si, par exemple, un office du logement recherche exclusivement des non-fumeurs, on a toujours le droit de fumer dans l'appartement par la suite - une résiliation serait inadmissible. C'est l'avis juridique général, du moins jusqu'à aujourd'hui. Mais on peut demander au locataire de payer pour le papier peint jaune (à cause du tabagisme). Cela montre que fumer n'est pas une activité tout à fait normale.
On peut supposer qu'en général, la pression sur le tabagisme (qui, dans la grande majorité des cas, est associé à une nuisance pour les autres locataires) augmentera. De même que de plus en plus de parties des gares sont devenues non-fumeurs et que jeter un mégot de cigarette est devenu un délit (comme à Berne en 2004). On peut donc supposer qu'à l'avenir, une interdiction de fumer dans les appartements deviendra peut-être applicable. À l'heure actuelle, la liberté personnelle s'applique toujours à la consommation de tabac - et cela vaut également pour la consommation d'herbe dans les appartements. Toutefois, uniquement si le voisinage n'est pas sensiblement perturbé par le tabagisme.
L'administration (ou le voisinage) peut bien sûr déposer une plainte auprès de la police à tout moment. Et après plusieurs amendes, le montant des amendes est si élevé que pratiquement personne ne pourra se permettre de continuer à fumer de l'herbe. Dans ce cas, il est important de choisir une autre forme de consommation. Il n'est pas nécessaire de fumer les produits du cannabis. Ceux qui les mangent ou les vaporisent ne produisent aucune émission - ce qui élimine bien sûr le stress de déranger les autres locataires. Et donc il n'y aura guère de rapport à la police.
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